mardi 27 octobre 2015

Mollo sur le destroy

Vous aurez sans doute remarqué que je n'écris pas beaucoup par ici, pour contrer la flemme du blogguer le dieu de l'internet nous a pondu le podcast. Et c'est bien parceque ca me permet de dire des trucs en parlant sans trop me fouler a preparer... Tu le sens mon amour de l'impro, la?

En attendant voici le premier épisode de Mollo sur le destroy,
ou je compte parler de parentalité de temps a autre.

vendredi 10 avril 2015

albums jeunesse - les tendances de la maison: sans texte

Mes filles ont visiblement chopé le virus de la lecture et c'est plutôt une bonne chose.
Nous ne leur lisons pas d'histoires avant de dormir, mais c'est aussi parce qu'on leur en lit des dizaines dans la journée.
Nous allons une fois par semaine a la bibliothèque nous ravitailler.(on a le droit a 20 ouvrages donc on ne se prive pas!)
Nous lisons donc aussi bien en français qu'en anglais. Depuis que nous sommes en Angleterre, nous lisons beaucoup de Julia Donaldson (Merci a ma petite sœur du tuyau!) qui a la bonne idée d’écrire en rime. Du coup, quand tu te rends compte a la fin de la strophe que ça n'a pas rimé c'est que t'as du te foirer sur une prononciation.


 Autre question scientifique qui me chatouille les neurones depuis un bout de temps… 
Avez-vous déjà remarqué qu'il vous arrivait souvent de bailler quand vous étiez en train de lire a voix haute pour vos enfants ?

Je pensais que ça ne venait que de moi, jusqu’à l'autre jour, ou en cuisinant j’écoutais d'une oreille Joss lire aux filles. Il a baillé plusieurs fois sans s'en rendre compte. Ma petite théorie c'est qu'on est pas habitue a cet exercice de lecture a voix haute (peut être dans une autre langue ça aide pas?). 

Bref, faites moi par de vos expériences, ça vous arrive aussi, ou c'est juste le combo, canapé-calins-10foislamêmehistoirealasuite ?


La tendance du moment est sur les albums sans texte. Surtout ceux qui fourmillent de details dans les images. 

 

 


Suite aux conseils de ce blog j'avais acheté lors de mon dernier passage en France les 5 livres de Rotraut Susanne Berner, en grand format cartonné.
- le livre du printemps
- le livre de l' été
- le livre de l'automne
- le livre de l'hiver
- le livre de la nuit

Autant vous dire que ce sont les premiers que j'ai glissé dans ma valises. Apres un an chez nous, ils sont encore consultés TOUS LES JOURS. Je ne regrette ni le prix (15 euros piece quand meme) ni le fait de les avoir en volume separés. Il existe une version des 4 saisons en un  gros volume. Comme ca, je peux avoir un exemplaire dans chaque piece de la maison, il n'y a pas de bagarre.


 
Le principe de ces livres est simple : chaque page représente un endroit de la ville, comme si on faisait un panorama a 360 degrés. La maison, le parc, la gare, le centre commercial, la place du village, la ferme… On y suit des personnages d'une page a l'autre ou d'un livre a l'autre et les différents livres nous montrent le même endroit a différentes époques (les saisons ou la nuit)




dans le même style nous aimons aussi



 - mille milliards de trucs (et de moutons), Loic Clement et Anne Montel, Belin Jeunesse, 2014.


Outre la référence a Raymond Queneau (<3 <3 coeur coeur for ever), le livre est bourré de clins d'oeil aux parents (coucou les chevaliers du zodiaque!), vu sur cet autre blog.


  
- caché (rien a voir avec Michel Haneke je vous rassure), Stephanie Blake, l'ecole des loisirs, 2013

 Pourquoi n'arrive-je pas a retourner cette image? Mystere et torticolis.

pour le coup il y a un peu de texte mais c'est le principe du « Ou est Charlie ? ». 


 

- Cherche et trouve parmi les animaux, Thierry Laval et Yann Couvin, Editions du Seuil, 2012

Un imagier des animaux amusant et tres complet


- Around the world with Mouk, Marc Boutavant, 2009


 
Je dois bien le confesser, j'ai decouvert la serie « Mouk » a la tele, et depuis c'est un des dessins animes que je mets regulierement aux filles.
Ce livre offre de superbe double page par pays


et le dernier coup de coeur en date (emprunté a la biblio et rendu depuis belle lurette) mais je compte bien nous l'acheter bientot. (oui, c'est un "nous" de mauvaise foi, comment ca je justifie mes achats compulsifs de livres par l'education de mes enfants?)



vendredi 1 novembre 2013

vrac


 Pop linguistique

Comme de nombreux français, il m'arrive régulièrement de ne pas comprendre un mot que je connais pourtant en anglais, pour la simple et bonne raison que les français le prononcent mal. Ceux qui ont demande un "levis" au lieu d'un "livaillsse" savent de quoi je parle....
L'autre jour, mes copains américains parlaient d'une star dont je ne comprenait pas le nom, devinez qui est "Meurailla Cairrie"? (réponse approximative en cliquant dessus)

Mais que fait la police?

ça fait plusieurs matins qu'en rentrant d'emmener les filles a la crèche, je me retrouve coincée, victime d'un feu rouge machiavélique. Pour accéder a mon quartier sur ma gauche, je dois attendre la flèche verte qui me permettra de tourner. Sauf que le feu ne passe jamais au vert... Ceux d'en face passent, puis ceux des cotes, puis ça recommence! La première fois, j'ai attendu au moins cinq minutes ( si, si, c'est long...). Je me suis rappelé une blague de Surprise Sur Prise, ou ils avaient placé un feu rouge sur une ligne droite et cinq cents mètres plus loin, une bagnole de flics. La deuxième fois, la voiture devant moi a tourné quand même tout en faisant gaffe que personne ne venait en face, j'ai fait pareil... et la troisième fois, je me suis promie-jurée que j’arrêterai de prendre cette route le matin entre 8 et 9. Parce que ça ne m'est jamais arrivée en dehors de ces horaires...
Bizarre, non?


 Quand on n'est plus habitué...


Ca fait trois ans maintenant que je le sais: on evite de faire de l'humour avec l'autochtone, surtout si on ne le connait pas... Et meme avec les maitresses, il faut que je me retienne...
Et puis la, sans que j'y sois préparé, une libraire m'a fait une blague! (bon, ok, c'est une libraire, ça implique une culture et tout et tout...)
N’empêche que j'ai eu du mal a comprendre au début tant ils ont tendance a tout prendre au premier degré ici...
Elle me demande mon numéro de téléphone pour m'inscrire dans leur base de données, puis ajoute qu’après ils refilent nos numéros a des "creepy people", qui vont nous appeler toutes les nuits. C’était fait avec malice et intelligence et j'ai eu envie de lui dire merci parce que quand on n'y est plus habitué, ça finit par manquer...





mardi 22 octobre 2013

Mes lectures du CDI et autres souvenirs...

Cet été, j'ai passé deux mois chez mes parents. Au sous-sol, il y avait des dizaines de cartons pleins de vieux bouquins dont la bibliothèque municipale ne voulait plus. On appelle ça le désherbage, ai-je appris a cette occasion (et vous aussi sans doute du coup).
Je dois vous donner quelques précisions: Dans cette commune de 2000 habitants, la bibliothèque a ouvert ses portes en 1996. Ma maman en était, et, du haut de mes 14 ans et de mes ambitions littéraires, moi aussi, j'en fus. Avec d'autres bénévoles, nous faisions les permanences le dimanche matin.
Je me souviens que j'avais réussi a faire lire "Jane Eyre" (Dois-je vous rappeler que j'avais 14 ans?) a une mamie fan de Juliette Benzoni.
Plus tard, je me souviens de la découverte de "Saga" de Tonino Benaquista. Un trentenaire a lunettes l'avait rendu pendant une de mes permanences. Privilège de la fonction, je me l’étais mis de cote parce que la quatrième de couverture m'avait emballe. Suite a cette lecture, j'empruntais systématiquement les mêmes livres que ce mec et je fantasmais sur les discussions littéraires que nous n'aurions jamais.
Je me souviens d'un bouquin fantastique intitule "H2O" que j'avais kiffé ma race. Ça raconte l'histoire d'ados qui suite a une expérience se transformaient en dauphins et développaient des pouvoirs, type télépathie. (Dans mes souvenirs, en tous cas)*

Dans les cartons, dans le sous-sol, j'ai trouve des petites pépites de ma jeunesse:
- les enquêtes de l'inspecteur Bayard (Astrapi)
- les Marion Duval (Astrapi aussi, j'etais tres tres fan)



et puis, et puis, je suis tombe sur ca:

 ( deja, "le bahut", ca fleure bon 1992, non? On va poser nos vaches sous le preau? ( pour les incultes qui n'ont pas vecu leur college dans le sud de la Loire-Atlantique: Sachez que nous donnions ce petits noms doux a nos cartables, et oui!)



ou celui-la



La collection "Tendre Banlieue"
Le classique du CDI
La BD au dessin trop réaliste et un brin moralisatrice
Les années 90
La drogue, le SIDA, le racket, le racisme, l’homosexualité....
L'adolescence de base, quoi...
Pas mieux qu'un épisode des "années collège"
Les mobs, l'acné et les premiers monacos
Non, et puis, ce titre "tendre banlieue", qu'est-ce que c'est niais....


Dans le même style (classique du CDI), il y avait Jo:



Mais, si, voyons, la fille bien sous tout rapport qui choppe le Sida a cause des toxicos... (Bon, a l’époque on se rendait pas trop compte du discours, je me rappelle qu'on le feuilletais plutôt en gloussant parce qu'on les voyait faire l'amour ( bon, ça va, j'étais au collège, j'ai dis....))

En écrivant tout ça, je me demande si ma haine des récits-témoignages ne remonte pas a cette époque. J'ai lu "Christiane F. " ou "l'herbe bleue", je ne sais même plus lequel, parce que mes copines m'assuraient que mais si c'est trop bien tu verras.... Je préférai mes Barjavel!


PS: Cet été, dans mon sous-sol a cote des cartons il y a aussi eu pour une semaine mes copains d’écriture. Ils ne connaissaient pas "Tendre Banlieue" les fous! Je me suis empressée de corriger ça! Mais enlevez moi d'un doute.... Vous les connaissiez vous aussi?






* Si quelqu'un a une quelconque idée de l'auteur ou d’où trouver ce bouquin, faites moi signe!


EDIT du 24 septembre:
Merci Manu qui a retrouvé le livre en question.
Il s'agit d' "H3O", et non de "H2O". L'auteur en est Jean Guilloré.
La preuve qu'il existe bien ce roman et que mes souvenirs de l'intrigue n’étaient pas trop galvaudés par les années, la.

Final Freeze

Tous les matchs de ComedySportz se terminent par un "Final Freeze". C'est une sorte de round final, un jeu ou tous les joueurs des deux équipes participent base sur les "puns".
Le pun, c'est un jeu de mot. En gros, le public donne une suggestion, un thème, et les acteurs conçoivent des blagues (souvent assez mauvaises, type calembour) a partir de ça.
Chaque final freeze a une forme bien particulière, un cadre bien établi. Il n'y a qu'une sorte de final freeze par match, mais celle-ci peut varier d'un soir a l'autre...
Apres que l'arbitre ait demande au public une suggestion, les joueurs se presentent sur le devant de la scène (dans la box) pour faire leur blague. Si le public rit ou tout simplement emet un son, l'arbitre sonnera une clochette et comptabilisera un point pour l'equipe concernee. Si le public ne dit rien, pas de clochette, ni de point.

A noter que pour ce jeu, la règle du "groaner foul" n'a plus cours. En gros, cela signifie qu'on a le droit de faire des jeux de mots bien pourris. Par contre la règle du "brown bag" a toujours lieue, donc on retient les vannes de cul, politique ou religion, et on garde nos mauvais calembours écoutables par des enfants.


Quelques exemples de Final Freeze:

185:
185 [suggestion] went into a bar, and the bartender says "We don't serve [suggestion] here!" [suggestion] respond with "PUNCHLINE" 
185 [suggestion] entrent dans un bar, le serveur dit: "on ne sert pas les [suggestion] ici", 185 [suggestion] répondent: [jeu de mots]

waiter:
-waiter, i have [suggestion] in my soup. - [blague]
-Serveur, il y a [suggestion] dans ma soupe.  - [punchline]

 Back in my days:
 Back in my days, we didn't have [suggestion], we got [pun]
De mon temps on avait pas de [suggestion], on avait [blague]

Letters from camp:
Dear mom and dad, thank you for sending me to [suggestion]camp, [blague]
Maman, Papa, merci de m'avoir inscrit au camp de [suggestion], [blague]

Si le plus souvent je n'intervient pas beaucoup a ce moment-ci du match, je profite des entrainements pour tester mes vannes.
Plusieurs constats:
Nous n'avons definitevement pas le meme humour que les americains.
Il y a pleins de references culturelles que je n'ai pas.
Il m'arrive souvent de baser un jeu de mots sur la prononciation que je crois la bonne alors que , non. ( exemple: j'ai essaye de faire un jeu de mots entre tale (conte de fee) et tail (queue du chien), personne n'a compris, il faut croire que malgre les apparences ca ne doit pas se prononcer pareil.)*
Souvent, je base ma blague sur la forme, plutot que sur le sens. ( recemment: Dear Mom and Dad, Thank you for sending me to Ocean camp, I had a bloupbloupbloupbloup.....)

* ça m'arrive aussi beaucoup avec les rimes, je propose des mots qui pour moi se finissent pareil alors que non... C'est un peu frustrant. Je m'en fous je me suis dégoté un dico des rimes a 1 dollar a Target!





jeudi 17 octobre 2013

Temps de cerveau disponible (2) lectures

La tyrannie de l'arc en ciel, Jasper Fforde.




J'avais adoré la série de Thursday Next du même auteur, donc c'est sans trop me poser de question que j'avais emprunté ce livre (titre original: shades of grey*) a la bibliothèque de mon quartier il y a deux ans...
J'ai vite dechanté après une vingtaine de page j'avais l'impression d'avoir lu l'annuaire tant je n'arrivai pas a dégager du sens...

Puis, j'ai acheté la traduction française en me disant “c'est trop bête, je suis sure que ça va me plaire”. Et effectivement, en le lisant en français, j'ai compris. Déjà, Jasper y va direct “in media res” sans introduction, sans lubrifiant, il nous plonge dans un monde totalement imaginaire avec des concepts aussi inédits que le dernier lapin, un arbre carnivore ou l'ascension chromatique...
Ce qui était incompréhensible pour moi en anglais, ne m'a pas empêché de poursuivre ma lecture en français... et tant mieux, car j'ai vraiment bien aimé cet univers. De la pure dystopie comme j'aime. De l'action, des références culturelles planquées partout...
Bref si j'avais le courage de mes rêveries, c'est le genre de bouquins que j'aimerai écrire.

J'attends la suite avec impatience.

*
 Il est sorti en 2009, donc avant “fifty shades of Grey”, j’espère que pleins de ménagères américaines se sont plantées et ont acheté le Fforde a la place!
Bon je n'ai pas encore lu le best seller mais Joss qui a lu le debut m'a donne son verdict tout personnel :
“il y a plus de tensions sexuelle dans Cherub (romans d'espionnages pour ados)" ou "La, elle mouillle sa culotte a la caisse de Castorama parce qu'il a acheté de la corde et du scotch...”

Light, Michael Grant.

 

Et voila le dernier volet de la série Gone. J'avais commence le premier en français puis j'ai rattrape la suite ici en anglais en les achetant au fur et a mesure de leurs sorties. (c'est dur d'attendre)... et maintenant c'est fini...
ça fait 6 bouquins, un paquet de personnages assez attachants et très crédibles (dont un bon pourcentage de morts plus ou moins atroces), de la SF tordue, des super-pouvoirs et du rebondissement a la pelle.
Il ne faut surtout pas se laisser rebuter par les couvertures dégueulasses (Y a quelque chose du roman photo de OK Podium): ça vaut le coup!



En ce moment, je suis en train d'essayer de lire

Claustria, de Regis Jauffret

Je dis "essayer" parce que Waouh, c'est chaud!
et que 1) j'y arrive pas quand les enfants sont dans la même pièce que moi, c'est trop glauque... *
et 2) j'y arrive pas non plus toute seule dans mon lit : ça fait trop peur.... 
Et puis, je suis sans cesse dérangée par le dégout que j’éprouve face a l'histoire et aussi face a mon propre voyeurisme.
Pour mieux comprendre, il faut que je vous dise que l'auteur (avec talent et une très belle écriture) imagine la vie des enfants du fait divers autrichien, Si, vous savez, le père qu'a séquestrée sa fille et lui a fait une palanquée de gamins qui n'ont jamais vu le soleil... vous remettez? Vous comprenez mieux mon malaise?
* Oui, et puis aussi lire avec les enfants, c'est aussi s'exposer a s’arrêter toutes les trois lignes (Je recommande les textes aérés avec du dialogue, plus facile de s'y retrouver, c'est toujours relou de relire la même phrase cinq fois d’affilé) pour au hasard récupérer de la pâte a modeler dans la bouche de la plus jeune, décapuchonner un crayon, chanter une chanson, dire "doucement les filles" sans lever les yeux de sa page, faire un câlin ou moucher un nez....**

** Ou alors je joue sur mon portable, je sais ca fait encore plus mere indigne. Et en plus je l'avoue, je joue a Candy Crush...***

*** D'ailleurs Candy Crush= grosse arnaque. Ça faisait des mois que je jouais anonymement (comprendre sans me connecter a Facebook, parce que ça pourrit bien nos news feed quand même), telle une petite fourmi laborieuse j'alignais mes bonbons en arrêtant quand je n'avais plus de vie et en attendant meme 24h sans broncher aux changements de niveaux. Et la semaine dernière, au niveau 92, j'en ai eu un peu marre alors je me suis connectée, et alors, la: L'hallu...Vas-y que je te refile de la life gratos, allez je te prête un petit extra-move et tout et tout.... Alors comme ça, oui, c'est sur' trop fastoch'... Bande de tricheurs!


samedi 26 janvier 2013

My so-called life

Un exercice super a faire en public!

La mise en place et le décorum:

L'arbitre choisit quelqu'un du public.
(Ici, c'est souvent quelqu'un dont c'est l'anniversaire. Il y a un tarif spécial et des animations particulières si on précise que c'est son anniversaire au guichet. Par exemple, il y a cette chanson d'anniversaire qu'entonnent les joueurs: "Thissss iiiissss your birthday song, it isn't very long!" )

Donc l'arbitre a choisi un "volontaire" et lui fait raconter un peu sa vie, ce qu'il fait comme métier, s'il vit seul, peut-être une anecdote... Il interview ensuite les personnes qui ont accompagne le "volontaire".
Les joueurs doivent bien observes cette personnes, mais aussi ses amis ou famille présents dans la salle, car vous l'avez devine.... ils vont devoir jouer la vie de cette personne.

Le "volontaire" s’assoit sur un tabouret en hauteur (type tabouret de bar) et de chaque cote de lui, un joueur "buzz", assis un peu plus bas.
Concrètement, le spectateur a a sa gauche un buzzer négatif (qui fait "tnnuut" ou un truc du genre) et a sa droite un buzzer positif (qui fait "ting ting ting" ou quelque chose du style). On lui fait essayer ses buzzers humains: quand il tape sur l’épaule du joueur de gauche: tnuut, quand il tape sur celle de droite: ting ting ting!
L'arbitre explique alors comment va se dérouler la scène: l'invite va voir les joueurs raconter sa vie. Il doit buzzer l'un ou l'autre suivant que les propositions des joueurs sont vraies ou fausses.



La scène:


Les joueurs vont donc raconter la vie de notre invite. Il ne faut pas avoir peur de faire des "big assumptions" ( des suppositions franches). Par exemple, si l'invite porte un tee-shirt d'un groupe de rock, pensez a le dépeindre en fan de musique. Si il vous dit qu'il est ingénieur informaticien, allez y dans les cliches geeks.
De toutes facons vous serez guides par ses "buzzs". N’hésitez pas a modifier des détails si le volontaire vous buzz "faux".
Les joueurs qui font les buzzs ne doivent pas hésiter a solliciter le volontaire en lui demandant, "cela est-il vrai? Ça s'est vraiment passe comme ça?"